Expédition rapide / Satisfait ou Remboursé / Paiement 3X 4X sans frais
COUTEAU DE COMBAT DE BESSON EMILE RESISTANT et MONITEUR TECHNIQUE CHANTIER DE JEUNNESSE - France seconde guerre
1 500,00 €
Net
Poignard de combat de Monsieur Emile Besson sortie tout droit d'un musé avec document manuscrit et photos du personnages, objets déposés par la famille et garder soigneusement par le propriétaire du musé Monsieur Sterna en Haute Savoie (Résistant également) proche du lieu des combats de maquis du plateau des Glières en 1943 et 1944. Lame Sabatier usagée marquage fugace, poignée aluminium quadrillée, fourreau cuir d'origine.
il s’engage très tôt dans la Résistance, dans le département de l’Ain, où la famille a suivi le père, facteur à La Poste. En 1942, il a dix-sept ans. Dans les villes de la Bresse et du Grand Lyonnais, mais aussi dans le maquis, il entre dans la brigade anti-Gestapo. « J’avais la carte numéro 82, se souvenait-il. Une carte prestigieuse, car la brigade comptait peu de membres… J’étais le plus jeune. C’était un boulot ingrat, dangereux, pas toujours joli-joli pour un homme de mon âge. Mais j’ai toujours fait ce que je devais faire. »
Émile Besson prit ensuite le maquis en mai 1943 en Haute-Savoie, sous le pseudonyme de Milou. Il y participa aux combats de la Libération avant de s’engager pour la durée de la guerre en Allemagne. Revenant plus tard sur cette expérience assez fondatrice au fond de sa (jeune) personnalité, il déclara : « Il n’y a pas de grands hommes, quand on a juste fait ce qu’il fallait faire. »
Émile Besson prit ensuite le maquis en mai 1943 en Haute-Savoie, sous le pseudonyme de Milou. Il y participa aux combats de la Libération avant de s’engager pour la durée de la guerre en Allemagne. Revenant plus tard sur cette expérience assez fondatrice au fond de sa (jeune) personnalité, il déclara : « Il n’y a pas de grands hommes, quand on a juste fait ce qu’il fallait faire. »
1 Produit
Références spécifiques